INFOLETTRE
Le jour où je pense que mon ambition de vouloir plus va baisser, mais que j'aurai un standard de vie comme je pense que je veux, je vais être capable de faire ce que je veux, quand je veux, peu importe combien ça coûte. Ça implique de voyager en jet privé, d'aller voir tout ce que je veux dans le monde. Ça implique de pouvoir traîner toute ma famille avec moi. Ça demande des moyens financiers qui ne sont pas au niveau où je suis présentement.
C'est sûr que j'ai encore la drive et l'ambition dans le tapis parce que je n'ai pas atteint ces niveaux-là. Une fois que j'aurai atteint ces niveaux-là, peut-être que mon ambition va baisser ou peut-être que non, que je vais vouloir transformer ça en quelque chose pour la génération suivante. On verra rendu là, mais pour le moment, c'est là que j'en suis. Sky is the limit, c'est vrai. Je l'applique.
Ce n'est pas pour tout le monde. Il y en a qui vont avoir leur fonds de pension, puis leur maison payée, qui sont bien contents. Je respecte ça. Moi, c'est autre chose.
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