INFOLETTRE
Qu'est-ce qui arrive, c'est que j'ai toujours basé ma carrière de la même façon, sur le long terme. Si aujourd'hui, après quelques mois que nous avons mis ta maison sur le marché, tu me dis « Alex, je n'ai plus envie de vendre, j'aimerais rester », ce n'est pas moi qui vais te garder prisonnier.
Je vais sûrement l'avoir vu venir, à part ce que tu me répondais de semaine en semaine et tout, puis le jour où tu vas me le dire. Eh bien, pour moi, ce sera juste partie remise. Je ne suis pas le genre de courtier qui va t'attacher avec un contrat, une clause, une pénalité ou ci ou ça. Je sais que si je te laisse aller, tu vas revenir un jour ou l'autre, puis la transaction, eh bien, nous allons la faire.
C'est comme ça que je fonctionne en Afrique, ça ne changera pas.
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